Grain de riz n°2 : La promesse de l’aube

Sélection_151A travers ce roman, La promesse de l’aube, j’ai découvert un monde de tendresse et d’amour maternel extrêmement touchant.  Pour résumer, c’est l’autobiographie de Romain Gary, où l’auteur va retracer son enfance, son adolescence et sa formation militaire. Il veut rendre hommage à sa mère, une femme admirable, sans qui ce livre n’existerait pas car c’est elle qui s’est battue, sacrifiée toute sa vie pour son fils. Elle a cru en lui, elle a placé en lui tout son espoir et c’est grâce à elle que Romain Gary est désormais devenu quelqu’un. C’est pour cela que l’auteur a voulu donner un sens aux efforts de sa mère, la rendre fière de lui. Il a accompli sa mission. 

Personnellement, ce livre ne m’a pas tellement plu: il a un côté philosophique un peu ennuyant. C’est une histoire touchante, je sais, mais qui manque d’action. Alors si vous aimez les histoires où tout bouge, saute dans tous les sens, ce livre n’est pas pour vous. (Je vous avoue que si je n’avais pas été forcée de le lire, je l’aurais tout de suite abandonné…) Mais il peut cependant s’avérer intéressant. J’ai appris beaucoup de choses à travers ce livre, il m’a aussi fait réfléchir. Bref, c’est à vous de voir !  

Mai Vy LEJEUNE (3 ème C)

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Le roman La Promesse de l’Aube, de Romain Gary, en tant qu’autobiographie, aurait pu être long et ennuyeux pour qui aime les romans d’action… mais l’auteur a su éviter ce travers car, pour plaire à son public, il a recours à beaucoup d’humour et d’autodérision, afin de présenter sous un jour comique sa situation respectée d’écrivain, de Compagnon de la Libération, et de diplomate reconnu. De plus, il s’adresse beaucoup au lecteur – ce qui ajoute de la vie au texte – et ces deux éléments rendent l’histoire plus intéressante ! Ainsi, Romain Gary est né en Russie en 1914 puis, après être passé par de nombreux pays dont la Pologne, où il séjourna assez longtemps, il arriva en France, pour le plus grand bonheur de sa mère, Mina. Là, il apprit le français et commença très jeune à écrire, pour combler ses carences dans les autres domaines artistiques, alors que Mina n’attendait que sa réussite. Lorsque la Seconde Guerre Mondiale fut déclarée, il s’engagea dans l’armée française, qui l’envoya en Angleterre puis en Afrique. C’est finalement avec beaucoup d’humour qu’est racontée ici l’histoire de son ascension sociale, et de ses quelques petits échecs, pour le plus grand bonheur du lecteur !

Maë ROBERT (3 ème C)

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